Novembre est le mois de la prévention des brimades. Mais chez mSpy, nous pensons que chaque jour devrait être consacré à la prévention de l'intimidation. En mettant l'accent sur la lutte contre le harcèlement chez les enfants et les adolescents, nous disposons de plusieurs équipes chargées de trouver des moyens de prévenir le harcèlement par le biais de technologies intelligentes.
Aujourd'hui, nous allons prendre le temps de vous aider à comprendre les différents types de harcèlement, les dangers extrêmes qu'ils représentent et comment faire de votre mieux pour les combattre si vous découvrez que votre enfant en est victime.
Table des matières
Statistiques sur le harcèlement scolaire que tous les parents doivent connaître
- 90% des élèves de la 4e à la 8e année admettent avoir été victimes de brimades
- 1 sur 6 lycéens déclarent être victimes d'intimidation en ligne.
- Seulement 39% des lycéens ont signalé à un adulte qu'ils avaient été victimes de brimades
- 70% des élèves ont été témoins de brimades
- Plus de 160,000 les enfants refusent d'aller à l'école chaque jour à cause des brimades
Types de brimades
Intimidation physique. Toute forme d'intimidation impliquant une altercation physique est considérée comme une intimidation physique. Il s'agit notamment de frapper, de donner des coups de pied ou de faire trébucher quelqu'un, mais aussi de détruire les biens d'une personne, par exemple en jetant ses cartables à la poubelle.
Intimidation verbale. Ce type de harcèlement se produit dans le monde réel et en ligne. Il s'agit de crier des insultes à quelqu'un. Il s'agit de se moquer de quelqu'un en face ou même derrière son dos. Il s'agit de traiter quelqu'un de laid. Ou grosse. Ou de malodorant. N'importe quoi, en fait.
Le harcèlement social. C'est l'un des signes d'intimidation les plus difficiles à identifier, mais il est tout aussi préjudiciable. Le harcèlement social peut consister à répandre des rumeurs, à imiter quelqu'un de manière négative, à lui faire des blagues ou simplement à lui donner l'impression d'être un étranger.
Signes d'intimidation
Mon enfant est-il victime de harcèlement ? C'est une question que les parents se posent constamment. Et ce, pour une bonne raison. Avec la prévalence de l'intimidation sur les médias sociaux, il est facile pour n'importe quel enfant de devenir une cible. C'est pourquoi il est utile de savoir à quoi s'attendre.
Si votre enfant présente l'un de ces signes d'intimidation, il est temps d'intervenir. Certains signes peuvent être le signe d'un autre problème, par exemple d'un problème médical. C'est pourquoi il est important de parler à un professionnel de la santé si quelque chose ne semble pas normal.
Blessures inexpliquées. Vous avez fait tout ce qui était en votre pouvoir pour trouver des moyens de prévenir les brimades, mais ils reviennent à la maison avec des bleus sur les bras, des égratignures sur les genoux ou des coupures sur le visage. Bien sûr, certaines de ces blessures peuvent être attribuées à un accident sur le terrain de football, mais si cela se produit fréquemment, il y a des chances qu'il soit victime de brimades dans le monde réel.
Objets personnels manquants. N'ont-ils plus en leur possession certains de leurs objets préférés ? Leur téléphone ? Leur montre ? Un bijou ? Un livre ? Il est possible qu'elle soit victime d'intimidation et que quelqu'un l'oblige à renoncer à ses effets personnels.
Changement des habitudes alimentaires. Le fait de ne pas vouloir manger est l'un des principaux signes que mon enfant est victime d'intimidation. Il en va de même pour le fait de se gaver constamment de nourriture. Nous savons ce que vous pensez. Ces deux signes de harcèlement sont totalement opposés, alors comment le savoir ? Tout changement soudain dans les habitudes alimentaires pose problème. Il peut s'agir d'un signe d'intimidation ou d'un autre problème de santé ou de santé mentale. Dans tous les cas, il faut s'en préoccuper.
Difficultés à dormir. Quelque chose les empêche de dormir ? Ou se réveille-t-il souvent sans raison au milieu de la nuit ? L'anxiété pourrait être en train de l'atteindre. C'est à ce moment-là qu'il faut prendre du recul, se rendre compte que son enfant est victime de harcèlement et agir.
Dormir trop longtemps. S'il est constamment fatigué ou s'il préfère faire régulièrement la sieste, c'est peut-être le signe qu'il est victime de harcèlement. Certes, les adolescents font souvent la grasse matinée, mais si leurs habitudes changent soudainement, cela vaut la peine de s'y intéresser.
Retrait social. Préfèrent-ils soudainement rester à la maison plutôt que de fréquenter leurs amis ? Sont-ils plus heureux en regardant la télévision qu'en participant à des activités avec leurs amis après l'école ou pendant les week-ends ? Tout type de retrait des activités sociales qui semble soudain ou hors norme doit faire l'objet d'une enquête.
Les notes de souffrance. Comment savoir si mon enfant est victime de harcèlement ? S'il avait de bonnes notes à l'école et que celles-ci chutent soudainement sans avertissement, il y a de fortes chances qu'il soit victime de harcèlement. Que ce soit en personne ou en ligne, les brimades affectent la santé mentale de l'enfant, ce qui, en fin de compte, peut nuire à sa concentration. Lorsque la concentration diminue, les notes baissent.
Signes d'automutilation. S'il présente des signes d'automutilation, comme des coupures, ou s'il y a des indications de pensées suicidaires, Il est donc possible qu'il s'agisse d'un cas de harcèlement. Vous devez agir et demander de l'aide si vous remarquez l'un des signes de harcèlement ci-dessus, mais il est particulièrement important de le faire si votre enfant veut se faire du mal, ou pire.
Que faire si vous découvrez que votre enfant est victime de harcèlement ?
Maintenant que vous savez comment reconnaître le harcèlement, il est important que votre enfant sache ce qu'il doit faire s'il est victime de harcèlement en ligne. En discutant avec lui à l'avance, il sera prêt à faire quelque chose et, espérons-le, à arrêter le harcèlement avant qu'il ne devienne incontrôlable.
Reprendre son souffle
Dites à votre enfant de s'éloigner de son téléphone s'il voit des signes d'intimidation à son égard. Nous ne suggérons pas à votre enfant d'ignorer complètement le fait qu'il est victime d'intimidation, mais s'éloigner de la situation, même pour un moment, est toujours une bonne idée.
Ne répondez pas ou ne ripostez pas
Si quelqu'un donne un coup de poing, le premier réflexe peut être de riposter. Mais en cas de harcèlement en ligne, il est important de ne pas riposter ni même de répondre immédiatement. Il existe toutes sortes de formes de harcèlement et chacune d'entre elles nécessite une réponse adaptée.
Il est important de prendre du recul et de réfléchir à la manière de gérer la situation avant de faire quoi que ce soit d'irréfléchi. La dernière chose que vous voulez, c'est que votre enfant réagisse à l'intimidation en devenant lui-même l'intimidateur.
Faites des captures d'écran des messages d'intimidation
Si les brimades sont flagrantes, demandez à votre enfant de faire des captures d'écran de la situation. Votre enfant ne doit pas partager ces captures d'écran avec d'autres personnes. Ce n'est pas une bonne tactique de prévention des brimades.
Mais ce que votre enfant devrait faire, c'est enregistrer ces captures d'écran dans sa photothèque. On ne sait jamais quand il en aura besoin comme preuve le moment venu pour faire face à l'intimidateur.
Signalez-les dans l'application
Les applications de médias sociaux ont tendance à favoriser l'intimidation. Les responsables de ces réseaux sociaux l'ont bien compris. C'est pourquoi nombre d'entre eux ont mis en place des mécanismes pour aider les gens à signaler les comportements d'intimidation.
Une fois le signalement effectué, le site examine les signes d'intimidation et décide des mesures à prendre. Il peut s'agir de suspendre l'utilisateur des médias sociaux pour une durée déterminée (une heure, une semaine, un mois) ou de le bannir à vie de ce site de médias sociaux.
Parler à un adulte de confiance
Les enfants se sentent souvent seuls lorsqu'ils sont victimes de brimades. Et ils ont souvent l'impression qu'il n'existe aucun moyen de prévenir les brimades. Il est important que vos enfants sachent qu'ils ne sont jamais seuls. Ils peuvent toujours vous parler des brimades.
Si l'enfant ne se sent pas à l'aise pour vous en parler, encouragez-le à trouver un adulte de confiance avec qui il se sent à l'aise. Il peut s'agir des parents de l'agresseur, d'un enseignant, d'un directeur d'école, d'un entraîneur sportif ou de toute autre personne.
La majorité des adultes ne supportent pas les différents types d'intimidation et sont toujours prêts à aider à résoudre tout comportement abusif avant qu'il ne s'aggrave.
Comment prévenir l'intimidation
Encourager les comportements positifs
Savoir que votre enfant est victime de harcèlement est effrayant. Mais savoir que c'est votre enfant qui est l'auteur des brimades ? Cela peut être tout aussi effrayant. C'est pourquoi il est important d'encourager un comportement positif chez les enfants dès leur plus jeune âge. Les enfants admirent leurs parents et apprennent d'eux.
Soyez gentil avec l'employé de l'épicerie et vos enfants apprendront que le respect est très important. Remerciez le chauffeur d'autobus en quittant l'autobus. N'oubliez pas que ce sont les petites choses qui comptent. Le fait d'être témoin de petits gestes peut contribuer à façonner la façon dont un enfant perçoit les autres et, en fin de compte, contribuer à la prévention de l'intimidation.
Obtenez une application de surveillance comme mSpy
L'un des meilleurs moyens de prévenir les brimades est de les détecter à temps. Une application comme mSpy peut y contribuer. Cette application de surveillance comprend plusieurs fonctions qui aident les parents à identifier les brimades et à les arrêter avant qu'elles ne deviennent incontrôlables. Voici ce que mSpy peut faire.
- Détectez le harcèlement dans les discussions et les textes sur les médias sociaux. mSpy vous permet de lire leurs conversations privées sur des applications de médias sociaux telles que Messenger, Instagram, WhatsApp et Snapchat, autant de réseaux sociaux où le harcèlement peut sévir. Vous pouvez également lire leurs textes, leurs courriels et bien plus encore. Si vous remarquez des comportements d'intimidation dans leurs communications, vous serez en mesure d'y remédier directement.
- vous alerter sur d'éventuelles brimades. Vous ne pouvez pas toujours les surveiller. Et vous n'avez pas le temps de parcourir constamment leurs conversations. Ce n'est pas grave. mSpy surveille leurs chats ou leur historique de recherche et vous alerte si des mots-clés ou des phrases sont utilisés. Par exemple, si vous avez défini “se tuer” comme mot-clé, mSpy peut vous avertir si ces mots sont utilisés sur leur téléphone.
- Affichez l'historique de leurs recherches. Cherche-t-il des moyens de mettre fin aux brimades ? Cherchent-ils à obtenir de l'aide ? Ou cherche-t-elle un moyen de s'en sortir ? L'historique de leurs recherches peut fournir des indices. Et mSpy vous permet de voir ce qu'ils ont cherché.
- Vous donner le pouvoir de tout voir. Il ne s'agit pas seulement de savoir reconnaître les brimades. Il s'agit d'être capable de voir les signes d'intimidation sans être vu. Heureusement, mSpy fonctionne en mode caché, de sorte qu'ils ne sauront pas que vous lisez leurs conversations ou que vous regardez leur téléphone.
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Nous voulons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour aider à prévenir le harcèlement et aider les parents à se sentir mieux face à ce que leurs enfants font en ligne. C'est pourquoi nous vous offrons une réduction sur mSpy lorsque vous l'achetez en novembre.
Quel que soit l'appareil qu'ils possèdent, mSpy est conçu pour fonctionner parfaitement et sans être détecté. Bien qu'il ne puisse pas empêcher totalement les brimades, il peut vous aider à les détecter rapidement et, avec un peu de chance, à y mettre un terme.
